Ne vous contentez pas simplement de voyager,entrer dans l'histoire. Rcherche to do voir aussi fruit a pain lien fregate Bounty Les Békés martiniquais ont pendant longtemps attribué les origines de cette pratique à leur traditionnel « pain perdu » ou « pain saucé ». « Leur but étaient de dépersonnaliser leurs esclaves pour mieux les inférioriser par rapport au blanc » explique l’anthropologue sénégalais Tidiane N’Diaye qui a longtemps travaillé aux Antilles. «Réduire l’esclave à l’état d’animal se faisait aussi bien par la couleur que par l’art de vivre » ajoute-t-il. Néanmoins selon le journaliste martiniquais Eric Hersilie-Eloise, la « mémoire orale » voudrait que le trempage soit né des pêcheurs à la fin du XIXe siècle « pour ne pas perdre leur produit de la pêche : en d’autres termes ce qui n’est pas commercialisable » écrit-il. Il ajoute aussi que « les premiers trempages se font à base de langouste puisque avant l’arrivée des touristes, ce produit n’était pas consommé ». Mais pour le journaliste, « l’héritage africain » du trempage ne réside que dans le fait qu’on le mange avec la main. Des propos qui ne laissent pas de marbre l’anthropologue Sénégalais : « votre message m’a fait beaucoup rire puisque justement mon dîner d’hier se composait de langoustes grillées accompagnées de crudités » confie-t-il. Un met dont les environs de l’île de Gorée et la presqu’île de Dakar regorgent. « Entre le Sénégal et la Martinique il y a une ligne droite. Nombre d’esclaves de Martinique originaires de l’Ouest africain, consommaient ce crustacé avant d’arriver dans la Caraïbe. "Les déportés ont toujours adapté ce qu’ils trouvaient sur place à des pratiques de chez eux " affirme le chercheur. Saute sur l'occasion à votre prochain séjour dans les Caribes d'assister à un Trempage enregistrer vous sur la liste remplissez le formulaire ici

conditions générales de vente
Copyright 2012-2025 © Bourbon 1860 - Tous droits réservés. Design & Développement par MIDJ DEAL